Un gobelet de café dans la main, étendu dans l'herbe, tu observes ton neveux d'à peine 4 ans s'amuser dans l'herbe avec deux voitures que tu lui as offert ce matin, après que Juliette, sa mère te l'ai déposé en catastrophe pour une raison que tu as oublié, mais que tu savais "valable". Owi, il est amusant, a son petit caractère, mais semble toujours content de passer du temps avec toi. En même temps tu le gâtes plus que de raison, à croire que tu n'auras jamais d'enfant alors tu compenses en le laissant manger toutes les saloperies qui lui font envie, lui acheter tout ce qui lui plaît. T'es un genre de tonton en herbe qui laisse tout faire au gosse de son frère sous prétexte qu'il est, je te cite "excellent". Tu as prévenue ta belle-sœur, l'a informée que vous traîniez tous les deux sur le champs de mars. Planté le gobelet de carton dans l'herbe, allumer une cigarette que tu coince entre tes lèvres et tu t'affaires à éloigner les guêpes de la gaufre au nutella-caramel-kinder maxi quand une silhouette vient empêcher le soleil de te taper sur le nez. "Jul'," que tu souffle, recrachant une fumée blanche de tes narines en te redressant sur tes avant-bras. "Comme tu peux constater, Owi est vivant." léger coup de menton que tu donnes dans la direction de la tête blonde qui grogne et vait difficilement rouler sa voiture dans l'herbe, le visage barbouillé de chocolat et d'autres trucs qui collent, des restant de glucose contenu dans le kilo de bonbons qu'il lui a acheté sans doute. "C'était comment ta journée ?"
Juliette Roussel
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Sujet: Re: c'est quand qu'on va où ? (axiette) Mar 22 Sep - 20:33
Tu pensais pouvoir tranquillement profiter de ton week-end de repos après ta semaine de travail. La météo était clémente, tu avais l'intention d'en profiter et emmener Owie au jardin d'acclimatation. Mais à ton réveil, tu avais reçu un message de ta cousine de Marseille qui t'annonçait que sa mère - donc ta tante - qui habitait elle, en banlieue avait eu un accident de voiture et qu'elle se trouvait à l'hôpital. Ta cousine prenait donc le train pour voir sa mère et elle te demandait si tu pouvais la récupérer à la gare et l'emmener à l'hôpital en faisant un détour par l'hôtel qu'elle avait réservé. Tu ne pouvais pas lui dire non, mais tu te voyais pas embarquer Owen dans cette galère, et puis les enfants n'étaient pas les bienvenues à l'hôpital. T'appellais alors Axel en catastrophe pour savoir si il était disponible pour te garder le petit pour la journée, Andréa n'était pas là et tu n'avais pas envie de confier ton fils à n'importe qui. Axel acceptait, t'étais soulagée, donc après le petit déjeuner de ton fils, tu le préparais et tu l'emmènais directement chez son oncle. T'avais une grande confiance en lui et tu savais qu'Owen ne serait pas malheureux avec son oncle. T'embrassais ton fils sur le front, saluais Axel, et tu tu reprenais ta voiture direction gare de Lyon. Ta journée avais été épuisante après tous les trajets que vous aviez fait. Après que tout soit terminé, tu envoyais un message à Axel qui t'annoncais qu'ils etaient sur le champ de mars, donc avec ta voiture tu empruntais cette direction et une fois garée, tu arrivais enfin à les trouver, et un sourire se dessinait sur tes lèvres. « Ça je n'en doutais pas. » Heureusement que ton fils était toujours vivant, mais ça tu n'en doutais pas. Tu observais ton fils qui jouait un peu plus loin, tellement concentré qu'il n'avait pas encore remarqué ta présence. « Je dirais compliquée et fatigante. » Ta tante était hospitalisée, ses jours n'étaient pas du tout en danger mais elle avait été pas mal amochée. Tu t'asseyais à côté d'Axel, et tu lui demandais. « Ça va il ne t'a pas trop embêté ? » Owen n'etait pas du tout un méchant garçon, mais comme tout les enfants de cet âge c'était une véritable pile électrique. Donc il avait le droit d'être fatigué.
Je dirais compliquée et fatigante. tu recrache la nicotine par tes narines en serrant légèrement la mâchoire, tu as haussé la tête en laissant ton regard de jade dévier jusque ton neveux pris dans l'histoire qu'il avait inventé avec sa voiture qu'il ne lâchait plus au point de ne pas se rendre compte que sa mère les avait rejoins. Ça va il ne t'a pas trop embêté ? là tu esquisse un sourire en hochant négativement la tête, prends une bonne inspiration sur ta cancéreuse en te redressant un peu. "Il m'a fait tourner en bourrique toute la journée," c'est dit avec tendresse, parce que tu as conscience que pour Owie tu vendrais ton âme sans poser de question, lippes qui s'étendent et laissent découvrir tes dents blanches. "T'as élevé un bon petit boy." que tu lui assures alors en lui caressant le bras, là tu te demandes Axel, quelle tournure aurait bien pu prendre l'éducation du petit si ton frère y avait contribué ; de tout manière c'est un Belkin, il aura toute sa vie le funk et le porno dans le sang c'est sur. "Les impératifs familiaux alors, tu veux m'en parler ?" tu t'enquiers alors, parce que Jul, toi tu l'apprécie, elle est gentille, puis c'est une bonne mère, elle a juste choisi le mauvais mec avec qui concevoir un enfant.
Juliette Roussel
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Sujet: Re: c'est quand qu'on va où ? (axiette) Mer 23 Sep - 21:58
Ton sourire s'était élargie d'avantage, Owen était une petite fripouille, tu n'étais même pas étonnée lorsqu'il te déclarait que son neveu l'avait fait tourné en bourique toute la journée. Axel t'annonçait que tu avais fais du bon travail sur l'éducation de ton fils. Tu ne savais pas si c'était vrai mais au moins tu t'efforçais de faire du mieux que tu pouvais. Tu t'en voulais déjà assez de ne pas lui avoir permis de grandir dans un foyer stable. Owen représentait toute ta vie, tu ferais absolument tout pour lui, il était ton unique raison de vivre. « Comme on dit, qui aime bien châtie bien. » Owen remarqua enfin ta présence, et quelques secondes plus tard il t'avait déjà sauté dans les bras, ça valait tout l'or du monde. Dieu que tu l'aimais cette bouille blonde. « Coucou mon cœur. » Tu embrassais ton fils sur le front, un des rares endroits de son visage qui semblait encore propre. Il allait déjà repartir mais t'arrivais à le retenir avant qu'il ne s'échappe. « Je vois que tonton ne t'as pas laissé mourir de faim. » Bien sur tu évitais de donner trop de cochonneries à ton fils, tu pensais à sa santé, mais ce n'etait pas quelques bonbons et du chocolat qui allaient le tuer. Tu fouillais dans ton sac, tu attrapais une lingette pour essayer de le débarbouiller, un minimum. Depuis que t'étais maman tu avais le sac de Mary Poppins, il y avait d'avantage de choses pour Owen dans ton sac à main que pour toi. Une fois ton fils un peu plus présentable tu le laissais retourner à ses jeux. « Tu sais il n'y a rien de spécial à dire. Les jours de ma tante ne sont pas en danger, c'est le principal. C'était juste fatigant tous ses aller-retours... Mais merci, merci d'avoir pu le garder surtout au dernier moment. » Tu savais que tu pouvais compter sur Axel, ici ton entourage était moindre par rapport à Martigues. « Tu sais j'aimerais bien que tu m'offres un petit neveu à moi aussi. » Puis tu te rectifiais. « Enfin... Un cousin à Owen plutôt. » Ou une cousine d'ailleurs. Tu savais qu'Axel était plutôt discret au sujet de ses relations, mais tu savais qu'il n'avait rien de stable. Mais toi tu aimerais bien qu'il fonde une famille, ainsi Owen aurait un petit cousin ou une cousine avec qui jouer. Ce serait le cousin d'Owie, toi tu ne serais même pas sa tante puisqu'Andy et toi vous n'étiez rien en fait, seul votre fils vous liait. T'étais juste la femme qui avait porté son enfant comme il te l'avait si bien dit l'autre jour...
Sourire qui s'élargie quand le petit démon blond s'en vient retrouver sa mère dans une exclamation, t'es attendrit par la scène, ce qui te confirme qu'elle fait du bon travail. Légère grimace qui vient déformer tes traits quand Juliette essuie les joues de son fiston que tu n'as pas pris la peine de nettoyer, dans le doute, sait on jamais qu'il ait envie de manger de nouvelles cochonneries, t'en viens même à te demander si elle te laisserait le garder plus tard, vu l'état dans lequel tu le lui rend, bon la chose à noter est qu'il est en vie, c'est un très bon début. Toi les mômes, t'avais pas grande expérience, même pas certain d'en avoir un jour, peinant à avoir une vie sentimentale stable. "Non, mais dans ces cas-là passe par nous, pour les déplacements, Andréa a une super assistante qui t'aurait trouvé un vol aller retour pour la journée, enfin, hésite pas." que tu te permets de lui dire, quand bien même elle refuserait, tu t'engages personnellement à t'en occuper si d'autres urgences devaient survenir afin que ce soit moins compliqué à organiser pour la jolie Juliette. Tu secoue la tête, la hoche négativement, parce que garder un œil sur la petite tête blonde n'est pas un problème en soit pour toi, t'as même pu bosser sur tes montages pendant sa sieste, donc t'a rien perdu aujourd'hui. Vient alors le sujet délicat que t'abordes avec personne, à se demander si toi tu y penses un peu. Tu te redresses ton visage se ferme un instant avant que tu n'affiche un léger sourire de convenance. "Je baise un mec marié, depuis 10 ans Juliette," que tu lui avoue de but en blanc, sans prendre de pincette, comme-ci éviter de tourner autour du pot rendait le sujet moins compliqué à aborder, le seul hic c'est que tu n'en a jamais parlé à personne de ton entourage et que dernièrement l'envie se faisait grandissante, enfin, le besoin se faisait pressant surtout. Soigneusement tu fuis un peu son regard, le reporte sur ton neveux. "Y'a bien une jolie rousse un peu timbrée qui est apparue dans ma vie comme elle s'est invitée chez moi," tu marques une pause en jetant la tête en arrière. "Sans que je l'ai vue venir, mais lui il..." tu sais rien de lui si ce n'est son prénom et qu'il est marié, mais c'est tout, ha si et son âge et sa date anniversaire : voilà. "Toi alors, personne dans ta vie en ce moment ?" tu te racles la gorge avant d'ajouter sur le ton de la confidence : "A une époque, j'enviais Andréa de t'avoir dans sa vie, puis j'ai eu surtout beaucoup de peine pour toi..." renvoyer la balle ne pas s'étendre sur ta vie sentimentale après en avoir trop dit, voilà ta technique.
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