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 les humains s'offensent et se défoncent

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Antónis Sampras
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Antónis Sampras
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MessageSujet: les humains s'offensent et se défoncent   les humains s'offensent et se défoncent EmptyMar 25 Aoû - 20:00



Antónis Sampras
ft.ken samaras

NOM PRENOM -- ça glisse comme une mélodie quand tu le prononces dans ta langue. Sampras, le doux parfum des îles grecques de tes parents. L'enfant du pays, comme ils te surnomment quand tu rends visite à la Giagiá. Antónis, là encore les profondes racines de la mer méditerranée. Mais c'est surtout sous le pseudonyme d'Antik que tu t'es fait connaître il y a maintenant plus d'une bonne dizaine d'années. Nom de scène qui a fait ton succès, ils sont rares ceux qui t'appellent par ton prénom, et ceux là, tu les comptes comme ta famille. AGE ET DATE DE NAISSANCE -- t'as soufflé ta trentième bougie autour d'une table réservée au VIP ROOM. Il y avait du monde ce soir là, tu t'en souviens très bien. Tes potes ceux que tu considères comme tes frères avaient sorti la grande argenterie, de jolies filles que tu ne connaissais pas, des fans venus expressément pour te voir. T'as sorti ton plus beau sourire, t'as fait mine que tout allait bien, mais tu t'es jamais senti aussi seul que ce soir là. LIEU DE NAISSANCE ET ORIGINES -- à Paris même, fidèle supporter du PSG que tu es. L'hôpital Saint-Antoine, tu connais la ville comme le fond de ta poche, du plus mauvais des quartiers où t'as vécu quand maman s'est retrouvée à faire la femme de ménage dans les immeubles de la Couronne jusqu'au sommet de la Tour-Eiffel où ton agent de l'époque t'avait emmené déjeuner pour te faire signer le dernier album que tu sortirais. Il s'en doutait pas lui, et toi encore moins. La Grèce dans le sang, elle coule jusqu'à tes lèvres, aucun accent ne se fait entendre. Papa et Maman, une belle histoire d'amour de deux enfants d'émigrés qui se sont retrouvés à Paris. Il ne reste plus que la Giagiá là-bas, vous allez la voir dés que vous le pouvez, dés que tu en ressens le besoin. Tu y es allé dernièrement, t'y as passé plus de six mois il y a deux ans, puis t'es revenu. The Business must go on... STATUT CIVIL -- votre histoire était tumultueuse, elle était suivie par de nombreuses personnes. T'as pas hésité à sortir des sons quand ça n'allait pas, elle se sentait visée, ça se clashait sur les réseaux sociaux, tout le monde aimait vous voir ensemble, des pseudo paparazzis que tu fuyais à tes frasques en bas des immeubles quand en pleine nuit tu allais chercher de la came. Mais tu l'as aimé, par dessus tout tu l'aimais. Enterrement passé dans la plus grande des discrétion, t'as pleuré sur l'épaule de ton frère et chaque soir quand tu te sens seul tu ne peux t'empêcher d'écouter le dernier message qu'elle a laissé sur ton répondeur, elle allait boire un verre avec des copines, « La Belle Équipe », t'étais en studio toi, loin de t'imaginer l'horreur qui allait frapper. 5ans maintenant que tu t'enfermes derrière les portes de ton label, 5ans que ton coeur s'est fermé pour ne profiter que des courbes des femmes qui s'arrachent ton attention. ORIENTATION SEXUELLE[/b] -- tu les défends, t'as sorti une musique pour eux ou clairement tu marquais ton soutien au clan LGBTQ+ t'as également attiré la foudre de certains de tes fans et de quelques grosses têtes du business mais ça te tiens à cœur et tu les défendras coûte que coûte. On aurait pû pensée que sous tes textes poétiques se cachait un homosexuel mais ton corps ne vibre que sur celui des femmes qui partagent tes draps. Elles se sentent uniques quand tu leurs fais l'amour, parce que tu sais ce qu'elles aiment, mais qu'elles ne s'attendent pas à plus, ton coeur est fermé... Peut-être pas à jamais, mais pour le moment tu t'entêtes à le penser. SITUATION FAMILIALE -- l'histoire d'amour entre tes parents tu pensais la vivre, du moins jusqu'à ce que ton père ne fasse de mauvais placements, jusqu'à ce que les huissiers ne viennent chez vous, qu'ils embarquent les meubles pour éponger les dettes qu'il avait cumulé. Maman contrainte de faire les ménages alors que Papa s'en retournait sur son île essayant de se reconstruire. T'avais 14ans, tu traînais dans les hall d'immeuble, tu grattais tes premiers textes avant de les balancer sur youtube, t'incriminais tout le monde, t'en voulais à la terre entière. Mais t'as juré de prendre soin de ta famille, ton frère et ta sœur, jamais plus ils ne manqueraient de confort, une manière sûrement de te faire pardonner du calvaire que t'as fait subir à ta mère et à ton père quand t'étais jeune et que tu te faisais interpeller par les flics. MÉTIER/OCCUPATION -- Une passion pour la musique qui remonte à ton enfance, sûrement Giagiá qui aimait te faire écouter les belles œuvres grecques. T'as rapidement trouvé ton domaine. Un débit de parole que peu arrivent à également, des textes aux rimes équivoques improbables qui t'ont fait connaître d'abord sur les réseaux sociaux, quand à la sortie de l'école tu te filmais avec tes potes. C'est là que le succès à commencer, tu enchaînais les règlements de comptes puis t'es allé de confronter à d'autres, la magistrale battle que tu as fait à seulement 18ans, on en parle encore quand on évoque Antik' . Le succès est arrivé, jolie petite gueule, tu attirais autant les connaisseurs que les jeunes filles, parce que tu les dénigrais pas comme les autres, parce que tes textes avaient un sens. Deux albums qui ont fait mouche, salués par la critique, tu faisais ton chemin en marquant les esprits. Puis t'as voulu voir plus grand, devenir ton propre label, Panam's Records est né, il y a presque 5ans, tes potes t'ont suivi, vous avez fait la Une avec un album collectif. De concerts en interview, t'as baigné dans la célébrité et ça t'a fait peur, toi qui d'ordinaire était discret. Un dernier album éponyme, le message caché était que tu voulais arrêter, ton amour pour les textes avait creuvé en même temps que tu l'avais enterré. Enfermé dans ton bureau, tu signes les petits nouveaux qui pourraient reprendre le flambeau. Ils sont nombreux à appeler ton retour mais tu te sens incapable tant que t'auras pas fait ton deuil. A PARIS -- écrire ici depuis combien de temps votre personnage est là, pourquoi il est venu, dans quel quartier il vit, s'il s'y plait, etc.

GROUPE -- Serge Gainsbourg. CRÉDITS -- des icons (par défaut : Corvidae).

PERSONNALITÉ -- discret, observateur, loyal, fidèle, indomptable, éloquent, rancunier, violent, bagarreur, autodidacte, travailleur, fermé, brisé, à l'écoute.



Chacun son chemin, passe le message à ton voisin
01.la première fois que t'as sorti ta colère c'est quand les huissiers sont venus pour embarquer les meubles du petit appartement dans lequel vous habitiez depuis de longues années. Ce n'est pas l'amour qui a séparé tes parents, t'es certain qu'ils sont encore fous l'un de l'autre et qu'un jour ils se retrouveront. Tu te rappelles que maman pleurait, tournant le dos à ces hommes qui n'avaient aucune considération pour vous (c'est ce que tu pensais, t'étais un ado, tu voyais vos vies s'écrouler devant vous comme un château de carte balayé par le vent), papa lui ne les lâchait pas du regard et entre tes bras tu essayais tant bien que mal de réconforter tes frères et sœurs. Maman a rapidement trouvé un petit boulot, elle qui avait stoppé sa carrière pour s'occuper de sa famille, les halls d'immeubles, elle y faisait le ménage tous les jours n'ayant que la reconnaissance des anciens, les jeunes eux, ils s'en fichaient pas mal. Papa lui était reparti dans son pays, essayant de se refaire, de se reconstruire, promettant qu'un jour vous seriez tous de nouveaux réunis. Il n'est pas revenu et maman n'a jamais voulu quitter son Paris, la ville qui l'avait vu grandir.  02. t'as commencé à avoir de mauvaises fréquentations, inconsciemment tu prenais le rôle du père, voyant le tiens très rarement, quand ils arrivaient à réunir assez d'argent pour vous faire passer quelques vacances en sa compagnie. Tu traînais avec des types qui étaient peu recommandables et pour te faire un peu d'argent tu faisais quelques courses sur un scooter volé. Tu voulais une meilleure vie pour ta mère, pour ton frère et pour ta sœur, ça t'a amené des ennuis ces histoires, quelques gardes à vue, t'as été virer de ton lycée (en même temps il coûtait une petite somme à ta mère c'est peut-être pas plus mal). T'en as intégré un autre, c'est là que t'as rencontré ta bande, celle avec qui tu feras tes premiers sons sur youtube et que tu te feras connaître sous le nom d'Antik'. 03. t'as eu du mal à gérer ton premier succès, passer sur les ondes de Skyrock, t'as été entraîné malgré toi à signer chez un label, l'appelle de la gloire était grande, t'as arrêté tes petites passes, fréquentant de moins en moins la cour principale de la cité. Maman se faisait respecter, elle passait à concierge, bien mieux vu que la femme de ménage. Mais t'as jamais oublié d'où tu venais, toujours un clin d'œil pour ceux qui t'ont vu grandir et devenir célèbre. T'avais ce que tu voulais, tu t'améliorais au fur et à mesure, t'as arrêté tes études, ça a bien crié à la maison, maman voulait que t'aies au moins le bac, tu l'as finalement passé en candidat libre entre tes premiers enregistrements en studio. Putain ça te plaisait, cette passion pour la musique, pour les textes que tu sortais, le flow que tu avais, t'en passais du bon temps avec tes potes, ils devenaient ta famille et maman préparait toujours de bons petits plats quand vous vous réunissiez dans le salon. Le succès, les filles qui te regardaient, tu mettais un point d'honneur à rester auprès de tes potes. Et quand tu le pouvais tu te rendais en Grèce, t'allais voir ton père, t'emmenais ta fratrie avec toi, t'étais tellement fier. 04. y'en a eu quand même quelques galères. Les grands du game qui pensaient que tu n'étais que de passage. T'avais et t'as encore cette rage de vouloir perdurer, tu leurs a fait fermer leurs clapets, invité sur les radios, tu te laissais pas démonter, jamais. C'est pas dans ta nature, tu touchais enfin à ton rêve, vivre de ta passion, tu t'éloignais des bas fonds de Paris pour revenir dans le droit chemin, non sans quelques petits accrochages de temps à autres, tu connais la rue, ça te vaut encore aujourd'hui quelques désagréments quand tu te rends à la Couronne pour prendre un peu de beuh avant de rentrer dans ton appartement. T'es sujet à des excès de colère quand la cause en vaut la peine, tu la défends coûte que coûte, il est pas rare de te voir venir au bureau du Label avec quelques petites égratignures d'ailleurs. T'en as jamais trop fait avec ton succès, t'es du genre discret qui ne fait jamais parler de lui, du moins pas volontairement. T'essayes de rester dans l'ombre, mais ça tu l'as appris quand t'as monté Panam's Records. 05. au lendemain de son enterrement tu t'es rendu au studio, contre les indications de tes amis. Tu ne supportais pas d'être seul chez toi, de devoir faire le tri dans ses vêtements, devoir te séparer de ses affaires, les mettre dans des cartons, on t'avait proposé de t'aider, t'as pas voulu. T'as passé la soirée assit sur le canapé, les yeux dans le vide, plus assez de larmes pour couler sur tes joues. Et quand le soleil s'est levé t'as foncer dans ton petit bolide, tu t'es rendu à Panam's Records, grillant au passage quelques feux rouges. Le silence des lieux, t'as tourné sur toi, regardant ce qu'elle t'avait fait construire, une fierté. T'étais devenu l'heureux propriétaire d'une maison de disque. S'en est suivi un carnage, t'as tout balancé, t'en as cassé des choses entre les 4 murs, t'as hurlé sa perte du fond de tes tripes et juste après tu t'es placé derrière le micro d'enregistrement, quelques dernières larmes coulant sur tes joues, t'as rappé ta peine jusqu'à ce qu'ils te voient, jusqu'à ce qu'ils t'arrêtent. Ce qu'ils ne savaient pas, ce que tu ne savais pas c'est le succès qu'allait avoir cet album. Ce dernier album que tu sortirais. Pour elle. 06. ça fait presque 3ans maintenant qu'ils attendent ton retour avec impatience, espérant pouvoir un jour te revoir sur les scènes de France, peut-être pour une ultime tournée. Tu leurs dois bien ça à tes fans, c'est eux qui ont fait ton succès, c'est grâce à eux qu'aujourd'hui tu as un rythme de vie des plus corrects. Tu ne l'oublies pas, ça reste dans un coin de ta tête et c'est ce qui te permets de temps à autre d'apparaître en featuring sur quelques morceaux de tes potes que tu produis au sein de ton label. Tu n'as pas perdu ta passion pour le rap, souvent encore tu écris des textes, que tu fredonnes discrètement dans ton appartement à la décoration neutre. Le succès de l'album en hommage à cette fille que tu as aimé, tu ne t'y attendais pas, t'en as eu honte, tu t'es détesté même de te faire du bénéfice sur sa mémoire. C'est pourquoi t'as partagé la recette, une moitié revenant à sa famille et l'autre moitié revenant à une association qui venait en aide aux personnes victimes des attentats de ce 15 novembre 2015. Album certifié de diamant, tu l'as également revendu aux enchères.  07. si plus jeune tu aimais que l'on te voit, postant régulièrement sur les réseaux sociaux, voilà maintenant 5ans que tu te fais discret. Il serait peut-être temps de passer le flambeau, c'est tout du moins ce que tu penses, c'est ce que tu essayes de te convaincre, pourtant les résultats sont là, tes morceaux ne cessent de gagner en vues et en téléchargements, tu reçois de nombreux messages de personnes qui réclament ton retour. La vérité c'est que tu penses ne pas y arriver mais ce n'est pas le cas, t'as rien perdu de ta superbe, t'es juste un mec qui a besoin de faire son deuil et recommencer à vivre, tu lui dois bien ça, tu te dois bien ça. Les paparazzis sont là pour te le prouver, même si tu ne t'affiches plus comme avant, tu les lis parfois les articles qui sortent à ton sujet, ils te prêtent de nouvelles relations amoureuses, alors qu'en réalité tu ne fais qu'assouvir un besoin masculin avec des femmes qui savent à quoi s'attendre, certains lancent même la rumeur qu'un album est en préparation, ce n'est pas vraiment faux mais pour le moment il ne reste qu'à l'état de petite maquette que tu enregistres sur ton téléphone portable. 08. il y a deux ans t'as voulu disparaître. Tu l'as pas caché à ton entourage, t'as voulu mettre un terme à ta vie. Syndrome de la dépression, mauvaise passe, ils sont très peu à être au courant et t'as fait un énorme travail sur toi. C'est pas ce qu'elle voulait, c'est pas ce que tu avais promis. La vie réserve bien souvent des obstacles et jusqu'à présent jamais tu n'avais baissé les bras. T'étais seul chez toi ce soir là, cachets et alcool posé d'un côté et flingue posé de l'autre côté de la table. T'aurais voulu abréger ta souffrance avant de réaliser finalement qu'on t'attendait. Tu t'étais perdu, tu ne savais plus où aller, alors sur le même coup de tête qui t'a permis de rester en vie t'as prit un billet d'avion, un simple aller pour retourner auprès d'une femme que tu portes dans ton cœur. La Giagiá. Direction la Grèce, t'es resté six longs mois chez elle, écoutant attentivement les séances qu'elle organisait pour t'aider à te sentir mieux. Oui t'as prit un peu de poids du coup, tu mangeais bien, et cette coupure avec le monde t'a fait réalisé que tu devais te battre pour ce que tu aimais, ce qui te faisait vibrer. Paris, tu revenais. 09. T'aimes passer du temps dans les studios d'enregistrements. À chaque nouveau son de tes potes où d'un de tes poulains tu viens t'asseoir sur la chaise derrière la vitre pour les écouter ou encore leurs donner quelques conseils. Une bonne humeur qui se fait ressentir dans cette petite pièce, parfois ça sent l'herbe parce que vous ne dites jamais non à un peu de stupéfiants afin de vous faire planer. D'ailleurs t'as arrêté de consommer de l'alcool à outrance depuis ton anniversaire, mais tu ne dis jamais non à un bon petit joint bien roulé, pour les autres substances, comme tu l'as dit dans un de tes titres : t'as le nez de Krilin. Rien à voir mais, tu as une notion de la famille très profonde et très forte ! Ils sont peu nombreux tes vrais amis à t'appeler par ton prénom et ceux là, tu les considères comme tes frères. 10. tu te refuses à avoir de nouvelles relations amoureuses. D'une part car tu n'en veux pas, et d'autres part parce que tu as peur de perdre une femme à qui tu donnerais de nouveau ton cœur. Alors tu enchaînes simplement les coups d'un soir, sans vraiment penser te ranger. Elles sont quelques unes à venir te réconforter le soir, mais aucune n'est restée passer la nuit dans ton lit. C'est simple, elles sont prévenues. Non pas que ton tableau de chasse soit énorme, tu profites simplement de la tendresse qu'elles veulent bien t'offrir, qui ne connait pas ton histoire ? On sait que ça attendrit, bien que tu ne cherches aucunement de la compassion. Penser à un futur avec une femme est quelque chose qui ne semble pas être dans les objectifs que tu t'es fixé. Cœur fermé, t'as aimé une fois, et ça fait tellement de mal. Il est temps que tu tournes la page, que tu écrives un nouveau chapitre, un renouveau. Et si tout recommençait avec un simple « Ton manteau tu l'as piqué à une prostituée ? »

en vrac : t'es un ultra du PSG, tu essayes de participer à tous les matchs. t'as arrêté de boire à t'en retourner la tête depuis ton anniversaire. tu carbures à la caféine. t'as un tatouage très discret situé juste au-dessus de ton pubis, une petite feuille de cannabis. dernièrement t'as prit un peu de poids. tes cheveux souvent colorés, t'appelles ça dès expériences capillaire. tu grattes encore tes textes que du papier et tu les rappes seulement chez toi. t'as beaucoup voyagé, États-Unis, Espagne, Grèce, Japon, Russie. t'as reçu à la sortie de ton premier album un César dans la catégorie « Révélation de l'année ». t'es un grand fan de manga, ton préféré ? Hunter X Hunter. t'as pas oublié les halls d'entrée des immeubles et tu t'y rends souvent pour acheter de la came. tu fais parti de plusieurs associations, une pour défendre les droits LGBTQ+ et une autre pour aider les jeunes des cités. t'as toujours une casquette vissée sur la tête. t'as sorti une ligne de vêtements portant le sigle de ton label « Panam's Records ». tu fuis les paparazzis comme la peste et t'es pas branché réseaux sociaux. ton appartement n'est pas énormément décoré.



PSEUDO/PRÉNOM -- JOANNA OU LETEMPSDEJO PAYS -- FRANCE COMMENT T'AS CONNU LE FORUM ? -- Grâce à LA BANDE DE FOU LÀ @JOËL MERCIER, @MAXIMILIAN HOHENWALD & @IBRAHIM SAMPRAS  TON PERSONNAGE ? -- inventé NOMBRE DE JOURS OÙ VOUS ÊTES DISPONIBLE POUR RP/7 -- 7/7 COMME UNE NOLIFE UN PETIT TRUC À NOUS DIRE POUR FINIR ? -- Enfin, j'aimerais ajouter qu'ici c'est clairement yolo
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Joël Mercier
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MessageSujet: Re: les humains s'offensent et se défoncent   les humains s'offensent et se défoncent EmptyMar 25 Aoû - 20:03

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE les humains s'offensent et se défoncent 1379116650
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Antónis Sampras
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MessageSujet: Re: les humains s'offensent et se défoncent   les humains s'offensent et se défoncent EmptyMar 25 Aoû - 20:33

t'es belle les humains s'offensent et se défoncent 1682792371
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MessageSujet: Re: les humains s'offensent et se défoncent   les humains s'offensent et se défoncent EmptyMar 25 Aoû - 20:36

et comme ça ? les humains s'offensent et se défoncent 1859243889 les humains s'offensent et se défoncent 1072229432
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MessageSujet: Re: les humains s'offensent et se défoncent   les humains s'offensent et se défoncent EmptyMar 25 Aoû - 20:39

je te fais du très sale les humains s'offensent et se défoncent 341018397 les humains s'offensent et se défoncent 3752768607
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