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 Maximilian Hohenwald -

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Maximilian Hohenwald
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Maximilian Hohenwald
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MessageSujet: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyMar 25 Aoû - 21:43



Maximilian Hohenwald
ft.boyd holbrook

NOM PRENOM -- Hohenwald Maximilian mais plus communément appelé Max ou Bast pour le petit surnom. Il a jamais trop su pourquoi mais depuis petit on l'a toujours appelé comme ça AGE ET DATE DE NAISSANCE -- 35 ans Né en Caroline du Sud le 28 Mars 1985LIEU DE NAISSANCE ET ORIGINES -- Un mec made in America, expat à Paris depuis plusieurs annéesSTATUT CIVIL -- Divorcé de deux mariages (l'un d'une femme l'autre d'un homme) et père d'un petit garçon nommé Tyler de son premier mariage avec une femme nommée Becky restée aux Etats-Unis. ORIENTATION SEXUELLE[/b] -- Homosexuel qui ne s'assume pas. SITUATION FAMILIALE -- A 17 ans il a tout quitté : mère, père, frères et sœurs. Adieu la Caroline du sud. Il a plus aucun lien avec eux ni avec l'Eglise mormoniste de son enfance orientation sexuelle • Une petite lanterne s'est allumée depuis la taule... Hétéro en questionnement. Célibataire mais clairement attaché à un petit français qui l'héberge. MÉTIER/OCCUPATION -- Plombier qui vient de monter sa boite. A PARIS -- écrire ici depuis combien de temps votre personnage est là, pourquoi il est venu, dans quel quartier il vit, s'il s'y plait, etc.

GROUPE -- Dalida CRÉDITS -- des icons (par défaut : Corvidae).

PERSONNALITÉ -- Max ça a toujours été le gars qui a frappé avant de comprendre. Le premier à mettre le coup de poing dans la tronche. L'effet de surprise ça avait du bon. Les bagarres ça le connait. Il mordait la vie à pleine dent, sans se soucier des conséquences. Pourtant en prison il a appris à baisser la tête et à se faire tout petit et depuis sa sortit, Max semble un peu plus calme. Peut-être parce qu'il n'a pas encore retrouvé sa vraie famille ? Ou parce que la conditionnelle l'oblige à ne pas sortir du rang ? Il se sent littéralement bouillir de l'intérieur, prêt à exploser à chaque instant... quelque chose a changé en lui.



Chacun son chemin, passe le message à ton voisin
•  Sweet home, mother f*cker •
Joseph Smith. Ce nom il l'a entendu comme si c'était son propre père. A la maison comme dans les histoires pour s'endormir le soir. Smith était comme un parasite. Ses parents étaient dévots. Ils se sont mariés quand ils étaient jeunes, quasiment un mois après leur première rencontre. Un truc arrangé entre les familles.
Tout comme ses frères, Max a été baptisé à l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours quand il avait huit ans. L'âge de raison. Ce fut un dimanche à 10h à l'étage, plusieurs fois par an les hommes installaient une piscine gonflable pour baptiser les nouveaux convertis de l'Eglise, ainsi que les jeunes mormons ayant atteint l'âge de huit ans. Il avait été ainsi plongé dans l'eau par son père qui détenait la prêtrise en tant qu'homme. Max était le premier né dans l'Eglise de la famille et non un convertit comme ses parents. Ce qui était bien plus prestigieux.

En famille, le planning était chargé et laissait peu de place aux activités extérieures. Ils allaient à l’église tous les dimanches, assistaient à des événements de l’Eglise chaque semaine et priaient ensemble tous les soirs dans le salon et à haute voix. Une fois par mois, les croyants étaient formellement invités à témoigner à l’Eglise. Il fallait traverser la salle, subir les regards, prendre le micro et partager des professions de foi. Les bons membres -comme ses parents- le faisaient régulièrement, souvent submergés par la présence du Seigneur. Ses parents - Margaret et Sam- les obligeaient toujours à y aller, ses frères et lui. Du haut de ses huit ans, Max était terrifié.Il ne trouvait jamais rien d’original à dire et ne se sentait jamais rempli d'amour par le Seigneur. Il se sentait seul face aux autres, mais c’était ce qu’on attendait de lui, alors il s’exécutait sans broncher. Max était le premier de sa fratrie. En grandissant, alors qu'il devait expliquer aux plus jeunes leur religion, il a commencé à se poser des questions : "Pourquoi je n’arrive pas à pleurer ?", "Pourquoi je ne ressens rien comme les autres ?". Il croyait en cette Eglise mais il ne ressentait rien comme les autres. Il était impuissant à tenter de comprendre ce qui pouvait bien l'entourer et qui semblait aussi inatteignable que le vent.
Puis son père eut une deuxième femme puis une troisième, les deux vivants sous le même toit que la famille de Max. Son père était polygame et c'était toléré au sein de l'Eglise.

A quinze ans, il voulait s’habiller avec les dernières marques, et non modestement comme les autres. Il voulait traîner avec des filles et parler de leurs poitrines. Les autres parents le considéraient comme une mauvaise influence sur leurs enfants et parfois il était même exclue des rassemblements. Et puis ce Smith, il pouvait plus le voir en peinture. Et ces cours pour le mettre en conditions, lui et les autres à devenir missionnaire comme son père. Il avait envie de voyager, oui, mais pas pour convertir de nouveaux membres. C’était insupportable et Max ne se laissait pas faire. Ses relations avec son père et l’Eglise ont commencé à se détériorer. A seize ans il avait tout fait : sorties clandestines, abandon de l’école, vol,…
Rapidement, ses parents ne l’ont plus forcée à assister à rien, honteux de son comportement. L’équipe dirigeante de l'Eglise a été plutôt soulagée de le voir disparaître de leurs pattes.

Un jour à l'Eglise lors de son dernier dimanche pour témoigner, Max n'en pouvait plus. Il ne ressentait rien pour ce Dieu dont ils parlaient tant. Alors dans un élan de colère, le blond s'était levé avait arraché le micro des mains d'une gamine avant de s’époumoner, à hurler des insanités. Leur croyance était vaine. Il avait jeté le micro dans l'assemblée, blessant une mormone au passage. Pour la première fois de sa vie, il ressentait quelque chose dans cette foutue Eglise. Un large sourire s'était dessiné sur son visage.
Il fallait qu'il parte et vite. Parce qu'il avait entendu son père dire à sa mère qu'il fallait le marier et vite. La gamine du voisin ferait l'affaire.
Sa décision était prise... Il devait partir et vite. Cette vie n'était pas pour lui. Le soir même il lançait des pierres dans les vitres de l'Eglise avant de mettre le feu au livre Saint dans le jardin à l'arrière du bâtiment. Il avait 17 ans, il avait gagné contre l’Eglise !

•  Hit the road Jack and don't you come back •
Un ticket de bus pour aller le plus loin possible le mena à Atlanta. Là bas et durant une semaine il dormait sous un pont. On le dévisageait parce qu'il avait les vêtements d'un gars du 18 ème siècle. Il était jeune, sans fric. Pour manger, Max a commencé à voler tout en continuant sa route vers l'autre extrémité de l'Amérique. Bus, moto, voiture, tout était bon pour aller d'un point A à un point B mais bordel que la moto c'était grisant. Il se sentait libre comme l'air, sans permis mais vivant. Durant des semaines et des mois il a rencontré des gens plus ou moins bien intentionnés : des camionneurs, des bonne femme revenant des courses, des voyageurs. Il a partagé une tranche de vie avec eux jusqu'à arriver à Dallas.

C'est dans cette fourmilière que Max a d'abord posé ses bagages. Cette ville, souriante derrière son sinistre maquillage de verdures, le monstre froid de la cité chuchotait aux oreilles des manifestants, semant des insultes racistes et renforçant les clivages. Ici les noirs c'était personna non grata. Les joutes verbales étaient ponctués par le bruit d'un tir au pistolet par un partisan Texan dans la poitrine d'un activiste noir, qui s'effondrait sur le sol, mort. Ici les flingues c'était comme des bonbons y en avaient à chaque coins de rues et il ne fallut pas longtemps pour que Max en possède un à son tour. Heureusement pour lui, même sans abri il était blanc et à Dallas avec tous ces cons de fachiste, Max a su en profiter. Il a appris que beaucoup de gens étaient prêts à aider du moment qu'il n'avait pas peur de demander.
Si seulement ses parents avaient été là devant ce grand théâtre qu'était la ville, ça n'aurait fait que renforcer leurs idées. Une grand scène qu'était Dallas,  persuadant les puristes que les forces du bien et du mal se disputaient les âmes. Seulement blanches... évidemment.
C'est dans ce contexte raciste que Max a su tirer parti. Il a commencé à voler, brûler des bagnoles pour se faire un peu de fric mais il s'est fait chopper et en tant que jeune délinquant ça allait barder pour son cul. Il s'est retrouvé dans un foyer pour mineur le temps qu'il puisse retourner sa veste. A peine 18 ans et déjà un petit casier à son actif. Personne n'avait cherché à le retrouver et lui ne voulait pas donner le nom de sa famille. Un gros bordel pour le système judiciaire américain. Il s'est fait appeler Warren durant plus de trois ans.
A 21 ans il ressort du foyer pour mineur avec un diplôme : plombier. Pas ce qu'il aurait voulu faire mais ça lui permettait au moins de prendre un job et se faire du fric. Il préféra quitter Dallas, se payer une bonne bécane et de continuer son chemin vers Albuquerque puis de poursuivre en Arizona à Oracle.
Albuquerque ville de merde selon Max il avait préféré ne pas y rester plus de six mois. Souvent mêlé à des histoires de bagarres qui finissaient mal, le blond avait préféré quitter l'état pour reprendre la route.

Une petite ville charmante où Max sentit immédiatement qu'il y ferait son nid. Puis y avait toutes ces gonzesses bien roulées qui se baladaient en mini short. Un putain d'paradis, hein. Il avait bien commencé à bosser en tant que plombier par ci par là mais rien de fou pour payer les factures. Il avait beau casser les tuyaux ou utiliser des réparations bas de gamme pour se faire rappeler il avait du mal à boucler les fins de mois.
Progressivement il se rapprochait de bikers. Il n'avait que 22 ans quand il entra en tant que prospect dans le gang. Ici il y trouvait une vraie famille avec un père, des frères et sœurs. Plus les mois passaient et plus il avait envie de défendre ce bonheur trouvé. Au bout de deux ans il entra enfin en tant que membre après avoir tué un type d'un gang rival et se faire tatouer le dos par un membre d'un gang Ce fut le souvenir le plus douloureux qu'il eut. Jamais il n'avait connu pareil souffrance mais bordel qu'il était fier. Il appartenait enfin à quelque chose en quoi il croyait vraiment. Une vraie famille et il en était un membre à part entière. La plomberie passa progressivement au second plan. Il se vouait entièrement au gang. Pourquoi faire autre chose ? Max était plus libre encore quand il était sur sa bécane et son blouson en cuir. Fier de porter son insigne dans le dos, il n'était jamais loin quand il fallait agir au nom du gang. Il avait un profond respect pour Wright, le chef. Un putain d'gars qu'Max voyait comme un vrai chef spirituel. Chacune de ses paroles était un un vrai message que le blond retenait comme parole de Sainteté.
C'est à 31 ans qu'il rencontre Becky, une serveuse au bar qu'il fréquente régulièrement. Ils concluent vite dans dans les chiottes et se côtoient quotidiennement jusqu'à leur mariage la même année. C'est une nana sympa qui se prend pas la tête, bien roulée, qui accepte sans contrepartie sa vie dans un gang. Becky devient sa régulière et ne pose jamais de question quand il doit partir la nuit pour une mission. Un an plus tard il mettra au monde Tyler, leur petit gars. La naissance de son fils c'est une vraie bouffée d'air frais. Il l'aime du plus profond de sa chair et la première fois qu'il le tient dans ses bras restera gravé dans sa mémoire comme lorsque de son adhésion au gang.

• I'm stuck in Folsom prison •
Alors qu'il vivait le parfait amour entre sa femme et son gamin, rien ne pouvait détruire sa vie de rêve. Ils ont déménagé à Paris et c'était parfait. Pourtant c'est à la fin de l'année 2017 que Max se retrouve derrière les barreaux. Arrêté pour tentative de meurtre, il s'est fait choppé avec sa bécane, bloqué par un barrage routier. Il aurait dû tuer au nom du groupe dans lequel il était mais le gars s'était échappé. Il avait frôlé la mort de peu. 3 ans ferme sans possibilité de faire appel. Pendant un an, c'est la routine. Parloir, bouffe, cellule et ainsi de suite. Tous les soirs il est au téléphone avec sa femme. C’était un de ces appels qui va termine comme tous les autres : il allait regretter de l’avoir appelée. C’était devenu une routine comme les autres. Tous les soirs il faisait la queue devant cette putain d'cabine, passant la moitié de son temps libre à se faire insulter par sa femme. Il n'était pas le seul dans ce cas. Prisonniers, erreurs du passé ? Non. Simplement fait chopper mais aucun regret. Pas pour le gang.

Pendant que les toxicomanes cherchaient un moyen d’évasion, les fans de muscu se pavanaient comme des cons, totalement ignorant que leur carrure n'était pas l'épreuve des lames. Dans sa section, il y avait des prisonniers ayant liens au trafic de drogue, des délinquants sexuels et des tueurs comme lui. Chaque fois qu'il sortait de sa cellule, des hommes venaient vers vers lui pour lui proposer de la drogue, la possibilité d'utiliser des téléphones portables.
Quel que soit le crime commis, le sexe restait au sommet de la hiérarchie des besoins selon Maslow. La triste réalité était que beaucoup des relations s'étaient déroulées dans un contexte de maltraitance. C'est pourtant là que Max a commencé à se poser des questions. Et puis les fonctionnaires ne pouvaient garantir la sécurité d'aucun détenu dont il s'est rapproché dès le début des membres du gang déjà en détention.

Assit dans la cellule, il n'avait rien d'autre à faire que de réfléchir. Il faisait un point sur sa vie et ce n’était jamais quelque chose de très agréable. Il ne pensait qu'aux aspects négatifs : son procès, ses problèmes à la maison, sa famille mormone puis les membres du gang. Dehors il ne serait plus en laisse. Dehors il ferait les choses bien pour son gamin et sa régulière.
Il était juste entouré de quatre murs avec une lumière tamisée, sans compagnon de cellule, sans photos d'sa famille. Et c’est comme ça jour après jour. En peu de temps, ses émotions avaient été poussées à une limite qu'il n'aurait jamais pu atteindre. Puis en février 2020 son maître spirituel est mort, tué en moto après une poursuite avec la flicaille. Une hécatombe pour Max qui avait perdu son leader, l'apprenant au parloir de la prison. Tout partait en vrille. C'est ce jour là qu'il a promis à sa donzelle de plus se mettre dans les emmerdes.

• I'm Back ! •
A peine était-il sortit de prison qu'il avait repris son boulot de plombier. Impossible de retourner voir sa famille avec son contrôle judiciaire pour rester libre. Puis bon il avait promis à sa gonzesse, quoi. La vie était chiante à mourir à bord de son monospace avec le siège auto à l'arrière, le gamin qui avait grandi sans lui et sa nana qui comptait les coupons de réductions parce qu'en 3 ans de taule le pouvoir d'achat avait baissé. Elle avait pris crédit sur crédit pour payer tout ce qu'elle pouvait. C'est avec un regard sévère qu'il serrait les dents. Tout envoyer péter, au bord de l'implosion. Il était un biker, putain d'merde pas un daron à tondre la pelouse le dimanche quand le soleil était au plus haut. Son blouson en cuir dans l'armoire et sa moto dans le garage, ça le bouffait de l'intérieur !

Un soir sans prévenir personne, il avait enfilé sa veste et prit sa bécane et il s'était rendu à l'endroit habituel. Une bouffée d'air frais. L'euphorie. Ils étaient là. 3 ans qu'il avait pas vu leur tronche. 3 ans qu'il avait envie de boire une bière avec ses potes. Sa vraie famille. Il avait tué pour eux, sans jamais demander quelque chose. Il était prêt à tout pour défendre ce qui était à lui. Les bikers c'était chez lui. C'était le sang ! Alors sans rien dire il avait poussé les portes et avec un sourire en coin dévoilant ses canines il avait soufflé : Enfin chez soi.



PSEUDO/PRÉNOM -- VILFY PAYS -- France COMMENT T'AS CONNU LE FORUM ? -- À DES MEUFS J'SAIS PLUS TON PERSONNAGE ? -- inventé NOMBRE DE JOURS OÙ VOUS ÊTES DISPONIBLE POUR RP/7 -- TOUT LE TEMPS TAVU UN PETIT TRUC À NOUS DIRE POUR FINIR ? -- nope
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyMar 25 Aoû - 21:50

y'a des fuites chez moi Maximilian Hohenwald -  3769986227
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyMar 25 Aoû - 21:50

M'en fous. Casse toi. Maximilian Hohenwald -  843168035
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyJeu 27 Aoû - 14:58

j'suis même pas passée par là Maximilian Hohenwald -  3288138323 Maximilian Hohenwald -  2260457606
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyJeu 27 Aoû - 14:58

Copain biker Maximilian Hohenwald -  1532499330
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Joël Mercier
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyJeu 27 Aoû - 14:59

toi t'arrête ça de suite ! Maximilian Hohenwald -  743424888
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MessageSujet: Re: Maximilian Hohenwald -    Maximilian Hohenwald -  EmptyVen 28 Aoû - 10:10

He oh arrêtez de vous batter !! Maximilian Hohenwald -  3540863266
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